Moi Zejabelle ...

Samut a tous ^^ Donc moi c'est Zejabelle, je suis nouvelle sur le jeu, c'est mon frère qui vient de me l'offrir ... (me demande pourqui il l'a pas fait avant ... )
Dons, "Zejabelle" c'est mon seul et unique perso dans le jeu, je ne connais ni les quêtes ni les maps, ni les monstres ... En fait je connais rien
Sinon je m'appel Aliénor, j'ai 20 ans et je suis étudiante.
En général je peut me connecter que le week-end, donc j'évolue pas tellement vite ...
Voilà en gros.
Bon, j'arrête de vous bassiner ^^

Bon, je vais compléter ma présentation

Alors sa c'est môa tel que vous pourrez me trouver actuellement sur wow ^^

http://eu.wowarmory.com/character-sheet.xml?r=Suramar&n=Zejabelle

Voilà, vous savez tout ou presque sur moi


Bises à tous !!!

Très belle présentation Zejabelle !! Il faudra que tu m'expliques comment tu fais toutes ces belles choses . Sur ce, le pêcheur bidon magnifique que je suis retourne à son activité favorite

Merci encore pour tes interventions et à très bientôt

Bon, je vais donc continuer mes interventions

Bonne lecture

Big Bibis à tous !!!!!!

Livre 1er: L'arrivée des Zej à Hurlevent


Je me présente, moi c’est Zejabelle. Je fais partie de l’une des plus vielles familles de notre vallée. C’est l’un des coins les plus calme de l’Alliance. Mais un jour, tout cela pris fin…

Cela arriva le jour où je perdis mes parents. Mes sœurs et moi nous retrouvâmes à la rue. Nous étions trois et j’étais l’aînée. C’est donc à moi que revenait le rôle de chef de famille. C’est drôle de se dire sa quand on a que treize ans environ. Mon père, un homme bien, m’avait confié un nom. Cette personne vivait à Hurlevent et elle était sensée pouvoir nous aider en cas de besoin. A croire qu’il avait prévu ce qui allait arriver…

Quoi qu’il en soit, n’ayant pas la mémoire des noms, j’avais oublié le sien, heureusement il m’avait dit qu’elle travaillait dans un orphelinat, et des orphelinats, il n’y en a pas cent ! Il fallais donc que l’on se rendent dans cette ville. Pour moi qui n’étais jamais sortie de la vallée, j’imaginais qu’il s’agissait d’une ville légèrement plus grande que là où nous habitions…

Je ne pouvais savoir à quel point je me trompais.

C’est avec le peut de possession et le peut d’argent que j’avais en poche que nous fîmes le trajet. Des cavaliers nous dépassaient en trombe, puis ce fut le tour des guerriers, des mages et tout un tas d’autres classes que je ne réussi pas à identifier. Jamais mon village n’avait été inquiété de la guerre qui faisait rage, même les marchands ne venaient que rarement nous rendre visite. Mais un jour des bêtes sauvages, des êtres immondes déboulèrent de nul part et ravagèrent tout sur leur passage, tuant ceux qui tentèrent de résister. Seul ceux qui réussirent à s’enfuir eurent la vie sauve.

Un soir, nous arrivèrent dans une petite bourgade, Compté de l’Or je crois. Il y avait une auberge de belle taille à un croisement, en fait le seul qu’il y avait ici. Nous entrâmes et commandèrent de quoi nous restaurer et j’en profita pour écouter les conversations des gens qui nous entouraient. Il y avait de tout, de la plus petite rumeur sur un tel qui avait perdu une vache aux batailles qui se déroulait loin d’ici. Le lendemain matin nous reprîmes la route en direction d’Hurlevent. Le voyage se passa sans encombre et à la mi-journée nous étions devant les portes de la ville.

Dire que nous étions impressionné était le mot juste, et encore. Jamais nous avions vu autant de monde réunis au même endroit, et quel endroit ! Dès le premier coup d’œil je me suis dit que c’était la plus belle ville qui était au monde.

Aujourd’hui je le pense encore.

Je demandai mon chemin à un garde qui nous indiqua ou aller et nous nous rendîmes ensemble à l’orphelinat. Celui-ci était tenu par Madame Shellene, la gouvernante de l'orphelinat. Elle nous reçus et quand je lui le nom de mon père elle offrit immédiatement de nous héberger le temps qu’il faudrait.

Mes sœurs et moi venions de trouver une nouvelle maison et bientôt une nouvelle famille.

Livre 2nd : Le départ de la soeur aîné...

Au bout de quelques mois je ne tenais plus en place, j’avais qu’une envie, sortir de la ville et voyager, voir du pays, retrouver le calme de la compagne perdu en arrivant en ville.

Cette occasion s’offrit à moi alors que j’effectuais une course pour un tailleur en échange de quelques pièces de cuivre, pas de quoi survivre mais c’était mieux que rien. Alors que je passais avec mes étoffes devant un attroupement qui s’était formé sur la place principale devant un homme juché sur une caisse, je pris le temps de m’arrêter quelques secondes. Avant l’homme et son discours, c’et tout d’abord l’état de la caisse qui m’interpella… elle était tellement pourrie de tous les côtés… et le fait qu’un homme de belle taille, environ 1m80, avec une armure qui devais peser deux fois son poids, tenir dessus sans sombrer dans le ridicule tenais pour moi plus de la magie qu’autre chose.

Je me frayai donc facilement un passage entre les badauds qui s’étais réunis étant donné ma petite taille. Ce guerrier dont je ne connaîtrais jamais le nom tenait ce discours :


…
Peuple de l’Alliance !
Seigneurs et Gentes Dames !
Entendez mes paroles !
La guerre fait rage contre la Horde !
Nos soldats sont loin !
Se battant vaillamment loin de notre Mère Patrie !
Nos belles terres sont sans défenses !!!
Ces bannis de l’enfer en profitent et nous envahissent !!!
Cela ne peut continuer ainsi !!!
Je vous en conjure ! Réagissez !!
Nos terres sont pillées et brûlées !
Nos femmes et nos enfants massacrés !
Il est grand temps de prendre les armes !!!
L’Alliance à besoin de vous ! Votre Roi à besoin de vous !!
Quel que soit votre race, vos origines…
Quelque soit votre classe ou vos métiers…
Rejoignez les rangs de l’Alliance !!!
Aidez nous à renvoyer la Horde aux tréfonds de l’enfer !!!
Grâce à vous, la victoire est possible !
Grâce à vous, l’Alliance reprend espoir !
Grâce à vous, Peuple de l’Alliance…
Nous Vaincrons !!!
Peuple de l’Alliance !
Seigneurs et Gentes Dames !
Entendez mes paroles !
Entendez mes paroles !
…

Ces paroles me rappelèrent ce que me disais un vieux mage de mon village. D’après lui j’avais un don pour la magie et il avait pris le temps de m’enseigner quelques sorts. Malheureusement la maladie et l’âge eut raison de lui un long et triste soir d’hivers.

Sur un pur coup de tête je me rendis à la Tour des Mages.

Depuis le temps que j’arpentais les rues de la ville dans tous les sens j’avais appris à me repérer facilement, c’est à peine si je ne parcourrais pas les rues les yeux fermés. Après être montée tout en haut de la tour, chose qui me prit déjà un certain temps, un mage dans la force de l’âge, le Grand sorcier Andronnath en fait, m’accueillit et m’invita à passer un portail d’une drôle de couleur.

Je n vous cache pas que j’ai pas mal hésitée avant de passer ne serai-ce que le bout de mon nez. Passé ce moment de doute je me retrouvai dans une vaste salle ovale remplie de bibliothèques croulantes sous des centaines de livres de toute taille et aux couvertures en tout genre.

On trouvais aussi des tables et des chaises de facture magnifique, elle-même surchargées de volumes dépassant de loin tout ce que j’avais eut l’occasion de voir dans ma vie. Bon, mes parents m’avais appris à lire et à écrire, le vieux mage ayant approfondi quelque peut mon savoir mais jamais je n’aurais imaginée l’existence de tant de livres, et encore moins de les voir réunis dans une même pièce (à cette époque je n’étais encore jamais allée au Donjon du Roi). Le mage me présenta à l’un de ses confrères et retourna à ces tâches.

A partir de ce moment je commençai à me poser des questions sur ce que j’avais et surtout allais faire. Mais la machine était en lancée et dès cet instant je sus que les dés étaient jetés et pour rien au monde je ne changerais de vocation.

A partir de ce jour ma formation de mage commença réellement. Très vite on me confia des missions dont plusieurs à l’extérieur de la ville. Je fis mes adieux à mes sœurs, leurs promettant de revenir les voir le plus vite que possible et je pris la route. A peine sortie de la ville je rencontrai une jeune guerrière qui me demanda assistance. Ma générosité pris le pas sur mes devoirs et nous sommes allées quêter ensemble.

Cette rencontre fut pour moi un nouveau tournant dans ma vie.

Laisse moi juste le temps de tout rédiger j'ai tout dans la tête

Mais t'inquiète pas je me charge de vous rendre accro moi

Bibis

fo dir ke g jamais aimer lire mais la tu a capter mon attention enfin bref continu koum sa lol

Livre 3: La rencontre d'un nain.

Cette guerrière m’invita dans sa guilde. Étant nouvelle dans la région et dans ma vocation, j’accepta sans plus réfléchir à ce que cela pouvais impliquer. Malheureusement je ne me rappel ni de son nom ni de celui de sa guilde. En fait j’ai du y ester que quelques mois.

Pourquoi ? me demanderez-vous… Ben, tout simplement parce qu’il n’était jamais possible de se rencontrer entre nous est que, je pense il n’y avais pas la cohésion entre les membres que je recherchais. Le genre de truc qu’il n’y a que dans une famille et qui est dur de retrouver une fois que l’on s’en retrouve séparé.

Bref, dans tous les cas c’est arrivée aux Marches de l’Ouest que j’eu l’agréable surprise de retrouver mon cousin éloigné, Darksyo. Très éloigné même, autrement son nom commencerais par Zej également, m’enfin, personne n’est parfait (lol). Dès cet instant nous restâmes inséparable, menant ensemble nos quêtes à bien. Nous traversâmes de nombreuses contrées et pendant tout ce temps, tous les soirs devant de feu de camps et la journée sur les chemins, il n'arrêtait pas de me parler de sa guilde. J’ai eu beaucoup de mal au début à me rappeler le nom de celle-ci.

Les Wälsungen. Pendant plusieurs mois je n’entendit que des « Païkan ceci… » « Buftou cela… » et encore ! Je n’ose imaginer ce qu’il aurait fait si je lui avais dit non…

Cela arriva au Port de Menethil. J’avais bien avancé dans ma formation et j’avais enfin choisit ma spécialité. Depuis toute petite le feu me passionnait et quand mon maître m’appris que c’était l’un des trois éléments que les mages pouvaient apprendre à maîtriser, j’ai immédiatement sauté sur l’occasion. Je voulais devenir la meilleur des mages magnant le feu… j’était loin alors d’imaginer le travail que cela pouvais représenter, je met sa sur le compte de la jeunesse. (mdr)

Certain, quand ils m’entendent tenir un tel discourt lèvent les yeux au ciel et l’on entend alors un grand « warff » ou bien « pff ». Ma fois, c'est pas de ma faute s’ils préfèrent utiliser le givre ou les arcanes… M’enfin, on ne peut pas mener tout le monde dans le droit chemin (reste à savoir si c’est moi qui suis dans le droit chemin...).

Dans tous les cas j’avais déjà décliné une demi-douzaine de propositions, certaines plus intéressantes que d’autres, mais ma première tentative s’étant avérée un échec, je préférais ne pas retenter l’expérience. C’est donc plus pour faire plaisir à Darksyo (et pour avoir la paix) que j’accepta de me joindre à cette guilde.

J’étais jeune, sans réelle expérience de la vie… Dire que c’était une erreur ? Non je ne pense pas, mais le truc c’est que je suis très timide et dans les premiers temps, je dirais que j’ai été plus translucide que les fantômes qui hantent certaines régions se seraient fait remarquer plus vite que moi (Oui ! Je vous jure ! Ils existent !!!).

Pendant que Darksyo et moi chassions des raptors, crocos et des trucs vert et gluant (beurk !!!) ma puissance de feu augmentais. J’avais même un bouclier ! Bon d’accord ! Je l’avoue… Je travail un peut la glace pour bloquer et ralentir mes ennemis et aussi les arcanes… Mais faut pas le dire hein !!!

En tout cas grâce à mon cousin il m’arrivait rarement de visiter les cimetières environnants. Chose qui changea radicalement lorsque nos chemins se séparèrent....

Il me conduisit dans une forêt quelque peut sauvage… Strangleronce je crois. Un message urgent lui était parvenu et il du partit précipitamment sans plus d’explication, s’est bien un mec sa encore ! Laisser une jeune magotte seule dans cette grande forêt hostile !

Habitué à travailler ensemble, je me sentais alors bien seule. Surtout que je n’osais pas demander de l’aide aux membres de la guilde (no comments). C’est donc seule que je partis à la chasse aux tigres, panthère et… encore des raptors !!!

C’est pendant cette chasse que je rencontra un nain. Il me sauva d’un groupe de bêtes bleu aux membres verts qui vivaient dans des ruines (chacun son truc). J’en avais pas moins de 7 à mes trousses !!!

C'est un adorable chassou du nom de Mangalachass. A ce moment là il était avec deux autres personnes, un paladin qui me soigna et un mage. Il's m'invitèrent à me joindre à eux et nous partîmes donc quêter ensemble. Mangalachass n'arrêtais pas de me parler de tout et de rien, me posant sans cesse des questions, les deux autres par contre c'était une autre histoire… c'est à peine s'ils ont échangés dix mots.

Etrangement on s'est tout de suite bien entendu et pendant plusieurs jours qui se transformèrent en semaines nous passions tout notre temps ensemble.

Un jour alors que j'étais de passage dans un petit port, le plus au sud de cette jungle aussi immense que sauvage, je reçu une missive d'un guerrier. C'était le Chef Païkan qui me demandais si je pouvais être présente à une réunion de la guilde…

Ahhhhh enfin le troisième chapitre de la grande épopée des Zej .
La présence de ce grand guerrier dans ton récit augmente l'impatience que j'ai de découvrir la suite . Encore merci Zeja